La semaine dernière, j’ai flashé sur une galette, c’est encore de saison. Cette galette m’en rappelait une que mon père nous rapportait quand il faisait un tour à Lille et à Malo-Terminus. Jojo m’a dit que la galette de mon souvenir n’est pas une galette beurrée. Alors en associant la recette de Jojo et mes souvenirs, j’ai bricolé ma galette.
Pour la réalisation de la galette briochée, j’ai suivi les instructions de Jojo, en mettant mon grain de sel, à savoir les graines d’une demie gousse de vanille ajoutées au beurre.
C’est surtout à la crème que j’ai apporté des modifications.
Faire macérer les raisins secs dans le Kirsch légèrement tiédi. Tremper la gélatine dans de l’eau bien froide. Fouetter les jaunes d’oeufs avec le sucre et la fécule. Amener le lait à ébullition, le verser doucement sur l’appareil aux oeufs. Remettre sur le feu, chauffer jusqu’à atteindre l’ébullition en fouettant constamment, ajouter la gélatine essorée. Incorporer les raisins secs et le Kirsch. Mettre la crème à refroidir en remuant régulièrement. Quand la crème atteint une température de 30°C environ, ajouter avec précaution la crème fleurette fouettée en crème mousseuse. Réserver au froid.
Quand la galette est refroidie, la couper en deux et la fourrer de la crème mousseuse aux raisins. Contrairement à Jojo, nous n’avons pas attendu et dégusté la galette tout de suite. C’est peut être pour cela que la galette en elle-même manquait de souplesse. Ce n’est pas grave, avec ces proportions, j’ai pu faire une seconde galette, je goûterai demain la différence.
Si ma galette ne vient pas du Nord, elle ressemble plus à une Tropézienne et pourtant ce n’en est pas une, alors serait-ce une galette lyonnaise ! que nenni. Si vous avez une idée pour lui trouver un nom…
Après avoir confronté mes souvenirs avec ceux de la Munichoise, il apparaît que nous avons les mêmes : crème aux raisins et au Kirsch, en moins épais. Pour la galette en elle même, ce serait plus proche d’un pain au lait souple. L’année prochaine ma galette souvenir sera au point !
Pas de nom, mais je salue ta galette.
Ca fait vraiment tropézienne pas vrai ?
La galette je sais pas, mais l’assiette est lorraine.
A tout à l’heure.
Tu as raison, c’est du Lunéville fin du 19éme. Elle appartenait à mes grands-parents et je l’aime beaucoup.
rhôôôôô qu’elle est belle ! Et c’est vrai que l’assiette est très belle aussi !
Bises
Cath
J’ai le même assiette à la maison!
Oui l’assiette est belle , la galette encore plus.
Elle ressemble drôlement à une tropézienne
bises
Je découvre seulement aujourd’hui ton nouveau blog et j’en suis ravie. Est-il possible de s’inscrire pour recevoir tes nouveaux billets? Bises
Mmm elle fait très envie, c’est une galette gourmande et généreuse 🙂
voici une galette trés tentante et surtout trés originale comme j aime de quoi satisfaire ma gourmandise
bises
hervé
Bien garnie comme unr tropézienne.
Un pur délice! Elle me donne bien envie.
Bises,
Rosa
Elle est généreuse et super originale, avec un accent à la tropézienne…
Gourmand !
Amitiés d’Isa-Marie
Pas de saison pour une galette comme ça… elle est trop tentante.