Une invitation de 750g à découvrir un « Petit traité de philosophie charcutière« , autour d’une assiette de cochonnailles, a aujourd’hui radicalement changé ma vision et corrigé les préjugés que je pouvais avoir sur certains produits charcutiers.
C’est avec quelqu’appréhension que j’ai accepté l’invitation, je ne mange quasiment jamais de viande, quant à la cuisiner encore moins. C’est la perspective de rencontrer amies et connaissances qui m’a fait franchir le pas. Mireille, Khala, Catherine et bien sûr Hilda étaient de la partie.
Quand mon goûteur n° 1 rapporte du boudin à la maison, je déserte la cuisine. À la rigueur, je consens à cuire les pommes, ça je mange, mais le boudin, je n’ai jamais pu jusqu’à…aujourd’hui ! Il aura fallu que j’atteigne un âge certain pour découvrir un des fleurons de notre gastronomie : le boudin aux pommes.
Une fine couche de pâte, des dés de pommes compotés, deux tranches d’un boudin fin, onctueux, savoureux. Je n’irais pas dire une révélation, mais un grand moment, oui. J’aimerais bien trouver la même qualité de boudin pour reproduire ces bouchées. Non seulement, je suis conquise mais, prête à inscrire le boudin à mes menus.
Il n’y a pas eu que du boudin, une salade de museau aux pommes de terre, (encore une première pour moi), des chiffonnades de jambons cuit et cru, un superbe pâté en croûte, du saucisson pistaché, des rillettes, sans oublier un velouté bien chaud au potimarron et éclats de châtaignes.
Chacune d’entre nous est repartie avec le petit livre rose, dûment dédicacé et illustré par Sébastien Demorand, tel que je l’imaginais et Vincent Morel, prodige du crayon.
En attendant nos précieux opuscules, nous avons discuté cuisine pour changer, j’ai rencontré d’autres bloggeuses : Denise, dont Mireille m’a si souvent parlé. Avant de nous séparer, quelques douceurs sont venues clôturer harmonieusement cette dînette, qui s’est déroulé au restaurant M, à Lyon, merci au chef et à son équipe pour leur accueil.
Un oubli de taille, une dernière rencontre Sonia Ezgulian, ce sera le dernier sourire de cette mémorable journée.
Grâce à la lecture de ce livret relatant l’histoire et les réflexions du professeur Hépaule, je crois que dorénavant je serais plus ouverte à toute nouvelle dégustation. C’est quand même bêta d’avoir attendu aussi longtemps pour manger du boudin !
et bien voilà ! c’est gagné pour le boudin et la salade de museau ( là je suis ébahie) mais aussi pour la châtaigne si si il y en avait en éclats dans le velouté. Maintenant je pense que je vais arriver un jour à te faire manger des lentilles
bises
Il faut dire que la qualité des produits était exceptionnelle.
très joli billet ! j’adore !
c’est vrai qu’il y avait des produits exceptionnels !
moi , j’adore le boudin et celui là était finement délicieux ! j’aurai aimé que Catherine ai le même courage que toi , je suis sûre qu’elle aurait changé d’avis sur le boudin !
j’espère qu’il y aura d’autres occasions ( avant l’enfer 😀 ) pour se revoir et papoter un peu plus !
bisous
Alors là c’est bien, tu es définitivement Lyonnaise. Boudin, museau, bravo!
C’était formidable de se retrouver pour ce moment « charcutailles » et fort sympathique.
Alors quand tu viendras, je te prépare un boudin aux deux pommes ? Hihihi
une belle rencontre !! chanceuse !!
bonne soirée
Hervé
Ça devait être bien sympa ! Je regrette de ne pas avoir pu y aller ! J’aurais eu un immense plaisir à vous retrouver Mimi et toi (et Hilda ?) et à faire la connaissance en vrai d’autres blogueuses ! Sans parler de la dégustation de charcuterie dont je suis privée à cause du cholestérol : j’aurais fait une exception ! 😉
BIses
Cath
Comme quoi, on apprend a tout age 🙂
J’ai moi aussi été ravie de te rencontrer.
Merci pour le petit clin d’oeil et à très vite à Grenoble.
Bises
et bien on peut dire que vous vous en payé une tranche au propre comme au figuré 🙂
Une jolie rėunion et un jour à marquer d’une pierre blanche ou plutôt noire comme le boudin.
Sympathique baptème du boudin, en bonne compagnie !
Vive le boudin 😉
je crois réver, mais tout peut arriver ! la preuve. Ne me dis pas que tu ne trouves pas des cochonailles à Lyon de bonne qualité je ne te croirai pas. Certains Lyonnais pourraient t’en vouloir.
Comme quoi, n’est-ce pas. Grâce à mon boucher, excellent lui aussi, je sais où trouver un Jésus incomparable,
tu n’as qu’à demander à ton neveu. Maintenant, j’ai plusieurs bonnes adresses à Lyon, selon le produit recherché.
hi, je ne suis pas allée à Lyon, mais par contre je viens de passer 4 jours de pur bonheur et de fous rires avec Sonia et Emmanuel
Je découvre ton nouveau blogue que je trouve absolument magnifique et vraiment professionnel. J’imagine que si tu as trouvé un bon boucher pour le boudin, tu as aussi trouvé un bon informaticien pour ton blogue..! À la prochaine Madeleine!
Je suis contente d’avoir trouvé ton article, je sais un peu à quoi m’attendre. j’ai eu la me^me invitation à Strasbourg pour dans 10 jours, et je m’en réjouis 🙂
Bonjour Madeleine
ce n’est pas le boudin qui m’amène…et pourtant je l’adore!, c’est ton succès au Food camp de Grenoble!
Bravo à toi! j’espère que tu nous partageras ta recette de veau aux légumes de saison
Je vais de ce pas découvrir ton blog
Alannie
Encore moi, Madeleine , juste pour te dire que mon billet Food Camp est là:
http://recettealannie.canalblog.com/archives/2012/02/06/23474976.html
J’ai fait des veloutés pour le co-lunch sur place le matin mais je ne suis pas assez fière du résultat pour en parler plus que ça…alors je préfère faire honneur aux autres
Tu es arrivées dans mes blogs chouchou comme Maëliss et Cath
Alannie