Bonnottes soufflées à l’ail des ours

Une petite erreur de manipulation et mon billet est parti avant même que nous n’ayons fini de déguster les Bonnottes. Le plus difficile justement a été de trouver ces fameuses Bonnottes juste avant mon départ pour mon île préférée. J’avais promis à Mamina de lui envoyer une recette pour le concours.

Recette

Préchauffer le four à 200°C. Brosser délicatement les Bonnottes sous un filet d’eau et sécher les. Couper les pommes de terre en deux dans le sens le plus long, les ranger sur une grille du four en les espaçant et les saupoudrer de sel fin. À température les enfourner pour une cuisson de 25 à 30 minutes. Sous l’action conjuguée du sel et de la chaleur, les pommes de terre vont gonfler.

       

Pendant la cuisson des pommes de terre, fouetter ensemble la crème fleurette et le mascarpone préalablement salés et poivrés jusqu’à obtention d’une crème montée mousseuse, incorporer délicatement l’ail des ours finement ciselé. Servir de suite avec les Bonnottes soufflées. Ces pommes de terre ont servi d’accompagnement à de petites soles juste poêlées et assaisonnées d’un trait d’huile d’ail des ours, une huile inspirée de l’huile de roquette de Pascale. J’ai simplement remplacé la roquette par mon herbe fétiche.

Il m’arrive très souvent de cuire ainsi des pommes de terre nouvelles, l’ail des ours souligne légèrement leur goût sans les dénaturer.

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9 commentaires

  1. Hummmmm, j’adore ta petite recette… pour moi, l’ail des ours est un souvenir d’enfance. Mon papa en ramassait tout le temps et nous l’utilisions beaucoup en cuisine !
    Merci pour ce petit moment de nostalgie.
    Biz

  2. Sympa comme facon de faire cuire les pommes de terre – il n’y a pas d’ail des ours chez moi, mais de l’aillet qui peut donner bon gout aussi a ce genre de preparation.

  3. Merci de ta participation avec une recette plus qu’appétissante. C’est adorable malgré les problèmes de connexion d’avoir tenu ta promesse. Bises.

  4. Blanchi ou pas blanchi, l’ail des ours , finalement ?
    J’ai fait les fougasses à l’huile de sauge de Mireille, et du coup cette question m’interpelle vraiment !
    Bises
    Cath

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